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La France est un pays qui revendique haut et fort ses principes de libertés, allant même jusqu’à s’engager dans des conflits. Mais, car il y a un mais, sommes nous réellement libre ? Beaucoup de domaines sont maintenant politiquement incorrects. Parler ou Rire de certains sujets sont préjudiciables à leurs auteurs. Preuve que ces « outragés » […]
La France est un pays qui revendique haut et fort ses principes de libertés, allant même jusqu’à s’engager dans des conflits.
Mais, car il y a un mais, sommes nous réellement libre ?
Beaucoup de domaines sont maintenant politiquement incorrects. Parler ou Rire de certains sujets sont préjudiciables à leurs auteurs. Preuve que ces « outragés » n’acceptent ni la critique, ni la dérision dans leurs domaines.
Ce n’est pourtant pas les seuls.
il reste tabous de parler de certaines professions ou de quelques sujets, surtout lorsque le principe de liberté est opposé à un autre principe, notamment celui de liberté lui-même.
Prenez en exemple le monde de la presse écrite.
La grande majorité d’entre nous fait de la liberté de la presse un principe. Pourtant ce principe pollue les relations entre les différents membres de la distribution de la presse.
La Presse est généralement en décroissance. Les relations entre les différents intervenants ont rarement été si mauvaises.
Bref, plein de sujets à traiter.
Hors, la presse si empressée de faire beaucoup autour de sujets divers et variés est totalement muette dès qu’il s’agit de parler d’elle-même.
Comment pourrait-on croire que la liberté de la presse débouche sur un tabou ?
Des journaux de défense des consommateurs toujours agressifs ne tapent jamais sur leurs confrères !
Parler des abus de tel ou tel intervenant est mal vu et pas accepté.
Si cela ne s’appelle pas un tabou cela y ressemble beaucoup.
Autres domaines, bien que plus souvent évoqués, sont généralement mal traités :
– le tabac où comme pour la presse, les abus des distributeurs et des politiques sont passés systématiquement sous silence comme si le problème ne concernait que les fabriquants et les débitants.
– les droits liés à la diffusion de vidéo, émissions, musiques, chansons… où certains organismes, outre le fait d’exercer un monopole de fait, abuse impunément de leurs droits.
– certains avantages fiscaux non négligeable : la taxe au tonnage des armateurs qui réduit à néant l’imposition sur les sociétés, la taxe 1 pour mille perçue par une partie de la douane qui pourrait renflouer certaines caisses plutôt que d’être réservée à quelques uns, les avantages « à vie » (garde du corps, billets de trains, etc..) de certaines professions et fonctions, avantages fiscaux liés à une situation précise qui n’existe plus mais dont l’avantage demeure, etc…
– le secret défense utilisé pour couvrir non pas des secrets d’état, mais des secrets particuliers.
– etc…
Tout cela n’est que tabous, généralement au détriment de l’intérêt général, sont l’exemple d’un monde d’égoïsme et replie sur soi.
Avec la situation actuelle du pays, il faut plus d’ouverture d’esprit et de solidarité…. qui sont également inscrit dans notre constitution sous les termes égalités et fraternités.